Or, avec cette débandade politicienne et syndicale, on comprend bien que, copains comme cochons, les institutionnels de la politique et du syndicalisme ne le diront pas, mais ils craignent pour la démocratie représentative dans laquelle ils prospèrent comme des vers dans un fromage, parce que la démocratie directe, celle des gilets jaunes aujourd’hui, celle des bonnets rouges hier, empêche les professionnels de la politique de parler haut et fort pour le peuple alors que, dans un même temps, ils agissent sournoisement contre lui –comme par exemple en n’étant pas à ses côtés ce 17 novembre.

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